Tout apprendre sur le budget d’un mariage

Publié le : 31 mars 20217 mins de lecture

Cette joie de se fiancer se transforme-t-elle en cauchemar chaque fois que l’on pense à l’organisation (et aux dépenses !) de la fête ? Allez-y doucement ! L’organisation, et le paiement d’un mariage ne doivent pas nécessairement être une affaire à sept têtes. Il vous suffit de savoir où et comment investir votre argent.

Lorsqu’il s’agit de planifier votre mariage, il y a des détails importants que vous ne pouvez pas négliger : papeterie, restauration, décoration. Mais comment savoir le montant à investir dans chacun d’eux ? On a demandé à une conseillère en événements. Elle a révélé les meilleurs conseils des experts. Le point de départ consiste à organiser votre budget et, à partir de là, à définir vos priorités. L’important est de savoir exactement ce que vous voulez comme point culminant de votre fête. Le couple ne renonce-t-il pas à la bonne musique ? Ensuite, réservez un montant plus important pour les dépenses du groupe ou du DJ.

Afin de ne pas extrapoler dans aucun domaine, ni d’oublier aucun détail, il est suggéré de répartir les dépenses de la manière suivante :

– 33 millions d’euros pour l’alimentation et les boissons

– Décoration et bouquet de 15m

– 12 om le lieu de la cérémonie et de la réception

– 10 om les vêtements du marié et de la mariée

– 8m de photographie et de filmage

– 8 om la musique (à la fois la cérémonie et la fête)

– 8 millions d’euros de dépenses supplémentaires

– 3 om cérémonies religieuses et civiles

– 3m de papeterie

Toute aide est la bienvenue

N’ayez pas honte de demander ou d’accepter l’aide d’amis et de parents s’ils vous proposent de payer l’un des articles de votre mariage, mais assurez-vous qu’ils s’impliquent dans des domaines qui présentent un réel intérêt. Tu sais ton oncle qui ne refuse pas un bon whisky ? S’il vous propose de couvrir le coût des boissons, il saura comment choisir la meilleure option et le coût ne pèsera pas sur votre budget. Ana se souvient également que l’histoire selon laquelle c’est lui le père de la mariée qui doit porter la fête, est aujourd’hui devenue une légende. Il n’y a aucune honte à suggérer que les parents des fiancés paient la moitié de la fête et que l’autre moitié soit divisée entre les deux couples, de sorte que les dépenses ne pèsent pas trop lourd dans les poches de l’un et de l’autre.

Ne pas perdre le contrôle

Il y a tellement de belles choses dans les magazines et les sites web consacrés à la mariée qu’il est difficile de ne pas vouloir extrapoler un peu les dépenses pour avoir le mariage de ses rêves, n’est-ce pas ? Mais n’oubliez pas que vous et votre partenaire vous êtes battus pour gagner cet argent à la fin du mois et ne pas dépenser plus que vous ne le pouvez. Si vous ne voulez pas dépasser la limite et vous voir tout endetté des mois après le mariage, l’idéal est de disposer d’au moins 50 % du coût total de la fête et de le laisser financer les 50 % restants. Si la fête de mariage est encore sur long terme, on suggère que vous et votre fiancé stipuliez ensemble un montant que vous pouvez garder chaque mois pour les dépenses exclusives avec le parti et dès qu’ils commencent à conclure des contrats, créez une feuille de calcul, ceux-ci dans Excel même, afin de ne pas perdre le contrôle de ce qui a déjà été payé et de ne pas encore investir.

Comparer les budgets

Pas de contrats à conclure avec la première entreprise que vous avez visitée simplement parce que vous avez laissé l’émotion prendre le dessus. Pour faire de bonnes affaires, il faut agir de manière rationnelle et rechercher les valeurs et les conditions de paiement dans différents établissements. Si vous avez beaucoup aimé le service d’une entreprise, mais que le prix est un peu salé, prenez rendez-vous et présentez les autres propositions que vous avez reçues. Essayez doucement de négocier une remise ou si l’établissement en question ne peut pas couvrir l’offre du concurrent.

Lors de la conclusion de l’accord, faites attention à ne pas engager une société écran, qui disparaîtra probablement du marché et emportera tout votre argent avec elle. Pour ne pas prendre le risque, cherchez beaucoup les références du fournisseur et, surtout, ne payez que 50 % du montant au moment de l’embauche et les 50 % restants la veille de votre fête.

Accéder au compte

Il y a un récipient qui nous aide à calculer exactement la quantité idéale de nourriture et de boisson pour chaque invité. Prenez note avant de conclure le contrat avec le buffet :

– Whisky et vodka : 1 litre pour dix personnes.

– Vin mousseux : 1 bouteille pour deux personnes.

– Bonbons : environ cinq unités par personne.

– Bien marié : deux à trois par personne si livré en souvenir.

Seulement ce qui est nécessaire

Certains détails peuvent faciliter la vie des mariés, mais peuvent faire grimper les dépenses budgétaires. Et si nous y réfléchissons à deux fois, sont-elles vraiment nécessaires ? L’expert pense qu’un cérémonialiste est indispensable pour que tout se passe bien le grand jour, toutefois, en avez-vous vraiment besoin un an avant l’événement ? Demandez l’aide de toute la famille pour vous assurer que chaque élément de votre mariage est défini et prêt à être livré, et n’engagez le service d’un conseiller que le mois dernier, pour faire la queue si tout ce que vous avez conclu dans les contrats est livré. Le montant peut être jusqu’à 30 fois inférieur à celui du paquet complet.

Pour économiser sur le buffet et le salon, renoncez à la fête pendant le week-end. Les lieux d’événements facturent généralement jusqu’à 50 % de moins si la fête se déroule sur un jour ouvrable. Et enfin : même si s’habiller en mariée est un rêve d’enfant, il vaut peut-être mieux considérer l’option de la location lors du choix de la robe. Les pièces déjà utilisées peuvent sortir jusqu’à 30 % de plus en compte qu’une pièce exclusive. Maintenant, si vous ne voulez pas renoncer à avoir votre propre robe, envisagez de l’acheter à l’étranger, ou sur des sites internationaux, mais assurez-vous de vos mensurations avant de faire l’achat afin de ne pas courir le risque de recevoir une robe courte ou serrée, des semaines avant le mariage.

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